Une équipe internationale d’archéologues a mis au jour 29 squelettes avec des caractéristiques anatomiques inhabituelles, peut-être sans rapport avec toutes les espèces connues sur Terre.
Une découverte archéologique révolutionnaire dans le désert de Gobi a stupéfait les scientifiques du monde entier. Une équipe internationale d’excavation a découvert un site de sépulture souterrain contenant des dizaines de squelettes avec des caractéristiques étonnamment non humaines. La découverte a déclenché une spéculation intense dans les milieux académiques, certains experts considérant la possibilité d’une espèce inconnue et non terrestre.
Complexe souterrain dévoilé après anomalie satellite
Le site, situé à environ 80 km de la frontière de la Mongolia – Chine, a été identifié après que l’imagerie satellite ait révélé des modèles souterrains inhabituels. L’équipe d’excavation, dirigée par le professeur Liang Wen de l’Institut de Sciences naturelles de Beijing, a lancé des travaux sur le terrain en février 2025. Après des semaines de fouille prudente, ils ont découvert une chambre calcaire cachée à environ 15 mètres sous terre.
À l’intérieur, 29 squelettes ont été retrouvés disposés dans une formation délibérée, indiquant un comportement rituel funéraire ou organisé potentiel.
“Ces restes n’ont pas été dispersés au hasard. Il existe des preuves claires d’un placement intentionnel”, a déclaré le professeur Liang. «Cela suggère un niveau de pratique culturelle ou cérémonielle que nous ne nous attendions pas.»
Caractéristiques anatomiques contrairement à toutes les espèces connues
L’analyse préliminaire des restes squelettiques a révélé plusieurs caractéristiques bizarres:
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Les crânes allongés s’étendant significativement au-delà des proportions crâniennes humaines
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Orbelles surdimensionnées, manquant de crêtes de front proéminentes
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Structures de bras à triple articulation – une caractéristique que l’on ne voit pas dans les vertébrés terrestres
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Des membres inférieurs qui ne suivent pas les rapports osseux humains ou primate
Des échantillons ont été soumis pour le séquençage d’ADN dans les laboratoires de Pékin, de Zurich et de Boston. Les premiers résultats indiquent queLe matériel génétique extrait ne correspond à aucun ADN humain, animal ou microbien connu dans les bases de données génomiques existantes.
Conférence de presse mondiale et prudence scientifique
Le 7 mai, une conférence de presse a eu lieu à Genève, en Suisse, où l’un des crânes a été présenté au public et aux médias. Le professeur Albert Groening de l’Université d’Amsterdam a fait remarquer:
«Si elle est validée, cela pourrait être la première preuve archéologique de la vie intelligente non humaine, ou une branche évolutive perdue de la vie terrestre qui a divergé dans des conditions inconnues.»
Malgré l’excitation, les chercheurs exhortent la prudence. Certains émettent l’hypothèse que des facteurs environnementaux extrêmes ou des mutations génétiques rares peuvent expliquer la forme inhabituelle des squelettes. D’autres soulignent la nécessité d’une nouvelle étude évaluée par les pairs avant de tirer des conclusions définitives.
Étapes suivantes de l’enquête
L’équipe d’excavation prévoit d’étendre le site de la dig et d’effectuer une datation supplémentaire au radiocarbone, une analyse du sol et une modélisation 3D des structures squelettiques. La collaboration est également en cours avec des agences aérospatiales pour examiner l’histoire géologique de la région pour des signes d’anciens impacts de météores ou d’anomalies de rayonnement.
Que ces restes représentent un chapitre oublié de l’histoire évolutive de la Terre ou la présence d’une forme de vie entièrement étrangère, les experts conviennent que la découverte pourrait profondément modifier notre compréhension de la place de l’humanité dans le cosmos.